Ils sont là, mais peu actifs.

Cette semaine, j'ai effectué deux sessions sous forme de coup du soir.Lors de la première session j'ai commencé par me faire couper net deux fois de suite, au même endroit, certainement par maître brochet.La suite sera moins active que le début, mais j'attraperai la première perche de l'année sur un montage double hameçon.Peu d'échos sont observés, mais je note, la luminosité baissant, une petite activité à la surface de l'eau.

Première perche de l'année, attrapée sur un montage double hameçon avec une autre congénère qui parvint à se décrocher.

Le dimanche soir, je pêche avec Fabrice.Sur le premier poste, au même endroit nous sentons tous les deux des petites touches furtives, puis plus rien par la suite.Sur le deuxième poste idem, au même moment et avec le même montage, nos leurres se font taper mais sans suite.Sur un poste à courant, mon vif est arrêté net sur le fond, ferrage et rien ne se passe.Je tire doucement sur la monture, et là j'ai l'impression que mon vif est comme relâché.A la surface, je m'aperçois que toute la partie ventrale a été arrachée, par qui, mystère?
Il ne reste plus beaucoup de temps avant la nuit et direction une autre zone.Première dérive et premier poisson ferré, pour moi, un sandre de 44 cm et de 1kg200.Deuxième dérive et nous n'avançons plus, le vent a tourné, je dandine sur place mon vif sur fireball et Fabrice anime son leurre souple à plombée interne, sans rien donner.Je lui propose de se décaler dans le courant principal pour pouvoir dériver un peu, tout en remontant ma monture...et attaque en surface d'un sandre que nous allons apercevoir tous les deux, mais qui va hélas se décrocher.Autre poste, aucun écho de poissons et la lumière qui baisse vraiment.Je propose à Fabrice de repartir sur le poste où nous avons pris le sandre et de pêcher au shad sur tête plombée avec des animations minimalistes.Bingo, Fabrice remonte un sandre de 55cm pour 2k200.Sur le coup de 22H20 nous arrêtons de pêcher, récupérons les deux sandres du vivier pour la petite photo, puis les relâchons dans leur élément.

Chacun le notre, pour ces premiers sandres de la saison.